De l'Aigle et de la Taupe ?

                                                                           

                                                                  Oser dire NON à Soral ?!

La taupe ? Écoutez de bout en bout. Son but :  berner intelligemment, et anesthésier le FDS, en lui promettant la Lune d'une Réconciliation impossible et non souhaitable,  lui faire gober qu'il est de la dissidence. Dire NON à cet homme est aux yeux de certains, un crime de lèse-majesté, encore faudrait-il qu'il y ait lésion et majesté ?  Éveilleur de conscience pour certains, mais gourou à la finale qui demande de ses troupes qu'on le glorifie et qu'elles stagnent sous sa coupe. L'intervention néfaste de Soraël en 2007 a profondément troublé les électeurs du FN. Le mépris qu'il affiche désormais vis à vis de MLP, aussi, est révélateur. C'est le petit épicier de l'islamophilie,  le miroir inversé d'Attali. C'est  "Judith", avec sa double Reine de coeur :  thèse, anti-thèse et synthèse de la même carte, comme l'Alter-Mondialisme est le reflet gauchiste du Mondialisme. On comprend que le Lion d'Afrique Kemi Seba ait largement refusé de manger de ce pain-là ! 
Soral  reconnaît que ce sont ses frères en religion  qui lui ont appris à user de sa si fameuse dialectique pilpoulesque. Roi du logos, gueulard et  flatteur, pour mieux vous enfumer, un peu dans le genre de Collard, qui enchaîne "couilles" avec  "pied dans la merde Peillon". Soral, c'est le Char gué au coeur de La Manif pour Tous, le suprême Étalon de Troie. Soral,  ou la hideuse et quasi transgenre Barjot, c'est  un peu kif-kif bourricot.
Leur point commun, appartenir au showbise et irradier de narcissisme ! Nous reconnaissons à Soral  diverses  qualités : 1, il "gère"  son intelligence, et la fait fructifier en espèces sonnantes et trébuchantes. Son cerveau est son outil.  2, c'est un  chef d'entreprise qui,  de Dieudonné au pervers San Giorgio, s'entoure, outre de fans,  de pairs  qui ont le don de transformer leur divers savoir-faire en pépètes.

L'Aigle ! Cela n'est pas le point de vue du mirifique  Abbé que n'avons pas cessé d' apprécier, et même plus, pour toutes les pépites qu'il dissémine et qui font de lui une mine d'or à ciel ouvert, sans compter celles qu'il recèle encore dans ses entrailles. Des volées de cet ordre, on en redemande, tant on aime la schlague. 
Son petit traité  tient debout de A à Z, sauf sur ce point précis d'une hypothétique hypocrisie de notre part, une singulière erreur qui n'est qu'une bagatelle au regard du reste, rajouterons-nous, un billet incisif sur Soral n'est pas que nous sachions, un billet sur l'Abbé, ou alors  Soral serait double, et aurait un trait de  plume littéraire que nous ignorions ! Et puis, quel lyrisme au côté de la fadeur d'un Garrotté ou autre Café-Philo de droite, qui visent mais à côté de la plaque. Face à un talent de cette volée, Le Brebis s'écrase ... Ah, si tous ses contradicteurs avait cette forme de génie, et regrets personnels, si tous ses aimé (e) s avaient eu ce répondant. Hélas !
L'Abbé ? Un trésor national  !  Une pleine page à  l'endroit d'un Brebis aussi frêle et pâlichon,  insensible à la flatterie comme au mépris,  s'en trouve touché en plein coeur, il l'en aimerait encore plus ! L'Âme de l'Abbé est  divinement belle en colère. Il signe la plus belle lettre de rupture que nous ayons reçue. Si nous nous trompons sur Soral, chiche, eh bien, nous en serions fort aise, mais l'Abbé, qui défend son ami et c'est bien normal, pardonnera nos doutes, malgré les 7 divers courants qui traverseraient ce cercle, au demeurant, assez mystérieux pour les "profanes" de l'extérieur. Notre Abbé latiniste et national a de plus, percé, le secret de l'ubique ovidé, ce qui, sans ironie pour une fois, nous émeut   :  hargneux au coeur d'artichaut.
Certes, nous irons nous réfugier, selon nos habitudes,  sous les jupons des donzelles intellectualisées, mais continuerons de jeter un oeil sous la culotte de l'Abbé qui, lui,  en a, même si sa sensibilité est vive. Ce n'est nullement de la division, c'est de la mise au point et au pas. Rien de tel pour nous transmettre de la saine énergie, et  qu'une forte tête de Mule aussi pleine,  pour voir l'ovidé, trembler et blêmir... tout en restant digne. Discourir avec des personnes que nous estimons, et que nous n'avons ni  visées, ni impliquées, non !  Nous  ne pouvons toutefois rien si elles jugent nos sentiments insincères, ce n'est pas faute de les avoir proclamés. Merci donc à L'Abbé, Merci à Orfeenix, en parfaite entremetteuse, Merci à Barbara, (ces deux dernières valant bien la vraie ou la fausse Louise Labbé), ...  et à tous trois, Chapeau bas !