mercredi 27 février 2013

Les Prophéties Mystiques 1 , le Compas et l'Eclair




     Ses sabots en tremblent encor, et de quel effroi ... !  Il a plu à Dieu, en son insondable mystère, en sa puissance et en sa magnanimité,  de choisir une âme d'une grossièreté sans pareille pour que celle-ci reçoive  en son sein des visions et images de l'Apocalypse qui s'annonce. Nulle trompette, nul ange musicien, nul décorum issu de l'Ancien Testament ! Son coeur écarlate de Brebis, étant fort peu accroché, c'est donc au bord de l'implosion cérébrale et viscérale que ces visions lui furent transmises et qu'il les reçut, comme émanant des paumes de la Vierge Marie et de l'éclat de la lance de Saint-Michel, bien qu'aucun de ces personnages ne fussent là. C'est ce qui fait la préciosité et la singularité du témoignage prophétique, de Brebis, témoignages qui, en général, se font  accompagnée par quelque entité spirituelle visible ici,   seules une présence indéfinissable et une voix sans support,  en furent les initiatrices. Visions et commentaires étant infusés depuis une source de Lumière inconnue.

                                                  


    Comment cela advint ? Le Brebis  était aux franges  du sommeil, après une journée chargée, allongé sur sa couche de paille,  qu'un éclair scinda sa conscience, qu'une porte intérieure s'ouvrit, et, que soudain, il ressentit une très forte présence à son côté droit, qu'il ne vit pas mais qui par une transmission de pensée inconnue lui demanda de se concentrer, et  sur l'écran noir des paupières closes, il put décrire  ceci : au loin, un  visage lumineux  bleu clair, flottait, debout au-dessus de nuées d'un gris argenté, il  abaissait son regard triste sur  des marées humaines affolées d'où s'échappaient des jets de fumées noirâtres, ainsi que des flammes rouges qui lui firent plus songer à du sang qu'à du feu, ou alors des   feux qui auraient tourné à sangs, ou un sang à des feux. Et il entendit  de multiples craquements, et des  grondements de tonnerre. Il vit des femmes hurlant, et des hommes aux yeux exorbités. Ces femmes et ces hommes, gantés, et  en habit du dimanche, portaient toutes et tous  une écharpe bleue qui leur enserrait le torse. On aurait dit une meute de rats  car, et la vision en cela se fut plus précise,  ils étaient  enfermés dans  ce qui lui semblait être des des geôles, même si une voix intérieure, celle de la jolie dame bleue, lui susurrait le mot "Loge",  anagramme de Geôle.




     Et c'est alors, qu'il vit, depuis le Ciel, une armée de silhouettes à la fois angélique et  guerriere, qui lançaient  des nuées et des multitudes de compas, qui, dans leurs lancers et leurs vitesses, faisaient figure d'éclairs. Ils fusaient en direction des malheureux et leurs pointes ou leurs flèches n'en rataient aucun. Les pauvres étaient prisonniers et ne pouvaient s'enfuir. Ils hurlaient à la mort, tandis que ces compas à blanc et ces éclairs de feu leur transperçaient le coeur. La fumée était âcre, et une odeur calcinée et étouffante envahit le museau du Brebis. Ces femmes et ces hommes cuisaient, certains debout, d'autres, couchés  à même le sol, d'autres encore, s'enfonçaient  dans des sables mouvants,  jusqu'à ce que seules leurs têtes fussent apparentes. Le Brebis  entendit et perçut des cris confus lancés en divers idiomes :  "Ô Grand Architecte, pitié, pitié!", "Ô Grand Torrent", " Ô Frères ! Ô Soeurs"..."Brothers and Sisters", "Frrrratellli e Sorrrrelle",  "Grrrrande Arrrccchitttteeetto", "La Veuve"., "La Vedoooova"... Leurs breloques au cou sautaient de leur poitrine comme si une main invisible les arrachaient, leurs tabliers prenaient feu et incendiaient leurs pubis. Certains, à genoux,  hurlaient, "Lumière, lumière",  plus ils bramaient ce mot saint, plus leur face se faisaient paradoxalement livides et obscures,  se recouvraient de sang et de vomis qui grillaient aussitôt étaient-ils émis par le corps. Pestilence ! Dieu qu'un maçon pris dans le feu pue ! Non seulement de ses humeurs charnelles, mais surtout de l'exhalaison de  ses pensées néfastes qui fuient son corps en grillant, et s'agglutinent dans le champ ténébreux du bas éthérique !  Sonnant, spirale sonore infinie,  Glas sur Glas  sur Glas, pire que chiens hurlant à la mort.


                                                    

      Une science infuse, instillée directement du Ciel, inonda  Le Brebis, il devinait qui était qui, qui était Juge, qui était Ministre, qui était Procureur, qui était Commissaire, qui était fils ou fille du Croissant, ou du Talmoud, pire, qui était  renégat infâme de sa chrétienté... Il aurait pu les désigner un à un, et leur dévoiler leur pedigree.  Les Frères et Soeurs en damnation parlaient en degrés, imploraient la raison, exhibaient leurs vains titres... Certains, tout en brasier, perdaient la tête, et  se mirent à déclarer leur flamme à leurs voisine ou voisin, parmi eux, quelques uns se mirent même à forniquer, cependant qu'en mêlant leurs feux, ils empiraient leur état, et s’évanouissaient aussitôt dans les flammes. Les plus gaillards, et bien qu'écorchés bandaient encore. Certains, échaudés,  l'organe en folie, passaient de vulve à cul, de cul à vulve, de vulve à bouche. Tête à tête, tête à cul, cul à tête, tête à l'envers, tête à l'endroit, cul par-dessus-tête, tête par-dessus cul. Le feu au cul leur dévorait la tête. L'Homme allait à l'homme. La Femme à la femme. La Femme chevauchait l'homme. L'Homme geignait sous la femme.   Plus rarement les choses étaient à l'endroit, et l'homme ainsi chevauchait la femme. L'inversion y était de mise, et, niquant, ils hennissaient : "Huuuue ! Maçooooonnnerrrrrie". Ils jouissaient ainsi alors que la flamme mortelle les consumait. Étaient-ce les feux de l'Amour ? Étaient-ce ceux de la haine, d'un aperçu de la gloire juste avant que de périr  ?




   Trempés de foutre ou de liquide cervical, rien n'y faisait, bien au contraire, plus ils geignaient de douleur ou par l'orgasme, plus ils imploraient leurs faux cieux de les délivrer, plus les vrais, paraissaient se venger de cet orgueil, en multipliant les attaques célestes météoriques, et déversant des tonnes d'averses orageuses de langues de feu, des flopées météorites de lave brûlante, qui faisaient s'exploser les orbites, brisaient au sens littéral et charnel les coeurs, sortir les intestins de leur gangue, fendre les cages thoraciques,  se fracasser les crânes.  Certaines têtes valsaient et se maintenaient en l'air avec un expression d'horreur figée, d'autres tombaient net, clac,  en se détachant miraculeusement du corps, et ces corps  couraient alors  à la manière de volailles aussi décapitées que déboussolées. Parmi ces frères et soeurs du Compas, certains tombaient dans des fosses, se relevaient tandis qu'une autre fosse se creusait sous leurs pieds. Ces fosses étaient vivantes :  bouches d'ombre que les frères eux-mêmes avait creusés. Les fosses se scellaient au fur et à mesure, et les râle même étaient engloutis, quoique un incessant bruit de fond, une rumeur ténébreuse, ne manquait pas de vrombir aux oreilles. Ceux-là disparaissaient à l'oeil. Engloutis, alors que les ténèbres s'épaississaient.


       
                                                     
     Oh, combien Le Brebis,  frappé de stupeur et de sainteté,  le sabot écorché, en sanglotait ! Ces foules tournant dans un labyrinthe circulaire étaient piégées, et elles couraient dans une échappée désespérée, leurs vêtements et leur chair brûlée tombant en lambeaux et les quittant. Certains qui se tenaient debout malgré la force d'un vent de feu qui s'était levé, commencèrent à tomber, tous désormais étaient nus.  Ni éclairs ni compas ne tombaient plus du ciel, mais le feu semblait sortir  de leur cul, et du  cul à gagner le dos puis la chevelure, leur zébrant la colonne vertébrale. Les dents grinçaient, des rictus de haine et de souffrance leur déchiraient la face qui elle aussi, prenaient feu depuis l'intérieur. Ils se consumaient, avec, un détail curieux, ils portaient sur un seul coin de peau, en général à la nuque, mais parfois aussi sur l'épaule, une empreinte constitué de trois points en triangle, parfois, c'était un G noir et calciné.  Quand ils furent tous à terre, quoique certains vagissaient encore le dos en équerre, des portes s'ouvrirent et l'on vit des hordes faméliques  de gueux pénétrer, puis se jeter sur les semi-cadavres fumants, à moitié consumé, comme par une auto-combustion, et, à pleines mains et à pleines dents, Ô Seigneur, leur arracher les membres, et les dévorer. Ô cannibalisme ! Des prénoms s'échappaient de ce charnier, et au milieu de milliards de sons, le Brebis en perçut les particules francophones : "Veiiillle", "Berkkktrank", " De l'Aaaarche de noéééé", " Lannnngue", "dDououille", "Hoooors de ce feeueueu !", "Fôrrrreeeesst", "Merluuuuuccchhon"... Les éclairs eux-mêmes  figuraient des mots à l'instant où ils éclaboussaient les frères : "avortement" "abortion", "aboooorto" "immigration", "fraternité", "destruction de la famille", "destruzione", "pedofilia"... Certains tentaient de voler au secours, qui, d'un frère, qui, d'une soeur, mais aussitôt une lame de feu les saisissait, et il leur était impossible d'avancer plus loin, terrassés et foudroyés,  qu'ils étaient à leur tour. Dans un angle du ciel, un choeur de millions d'enfants avortés comme autant de lumières que ces frères et soeurs avaient mis sous le boisseau, chantaient des cantiques, tandis que la masse quasi informe des damnés,  des faux fils et filles de la vraie lumière, ou  des vrais fils et des filles de la fausse lumière, beuglaient, pire que des veaux arrachés au sein de leur mère. Ils étaient terrorisés par les guerres  qu'eux-mêmes avaient déclenchées et qui, par un miracle inversé de la Création se recroquevillant sur elle-même, se retournaient contre eux.

                                                     
      Puis, Le Brebis,  dans un chaos sonore, un fracas du feu de Dieu, le museau investi d'autant de pestilence, vit, inscrit sur le Ciel, le  chiffre 6, entouré de 1, avec de multiples 0. Était-ce 6 mille, était-ce 6 millions, était-ce 160 mille, il n'aurait pu le dire. La folle cavalcade infernale des gueux trois fois à points,  quant à elle, se poursuivait.  Les plus dégourdis et téméraires  d'entre les gueux profanes, plongeaient directement leurs mains, puis leurs têtes dans les entrailles, et leur arrachaient les boyaux comme autant de tripes. De frénésie, ils riaient,  croquant du maçon,  pissant et chiant d'aise. Des os, des tendons, et des chairs, ils  n'en perdaient pas une miette, et ils s'esclaffaient en se bâfrant. Ah, ces gloussements, et ces dents cariées encombrées de nourriture infernale. Leurs visages s'extasiaient de contentement, tandis que les "frères et soeurs" qui n'étaient pas encore morts avaient l'expression horrifiée de ceux que l'on dévore et rogne vivants. Les profanes affamés gloussaient tout en pissant et déféquant, et l'on aurait dit que le transit intestinal de l'os rogné de maçon se précipitait dans leurs entrailles. Faire leurs besoins activait leur appétit, et les brochettes des fils du grand architecte s’amoncelaient autant que les tas de fèces montaient. Ainsi, une puanteur fécale montait, parmi les fumées noires, tout autant que celle du cochon maçon  grillé. Au-dessus des colonnes brisées et des damiers fendus, ce n'étaient plus qu' orgies de victuailles humaines,  d'écorchés calcinés, dévorations des lumières, et d'étrons étincelants qui à leur tour prenaient feu, telles des mèches. Les rassasiés profanes chantaient et beuglaient sur ce qu'il restait de cadavres et de squelettes des initiés :.


                                                    

     Le coeur écarlate de Brebis crut  exploser face à ces diverses visions dont l'accumulation allait  au-dessus de ses forces, aussi il baissa son oeil de détresse, vers la Terre et il vit...oui, il vit, des milliers âmes emportées dans  une spirale de feu vers les entrailles rocheuses,  et puis, il eut la force d'élever son oeil vers le Ciel, et là, il reconnut quelques âmes, rares, sépulcrales et bien sûr, blanchies, cela va de pair, s'élever vers le Ciel en louant les louanges du vrai dieu.  La présence invisible lui fit comme un signe indicible d'Adieu, et il entendit nettement une voix intérieure féminine dire. "Le Ciel ne te torturera pas plus aujourd'hui, mon enfant. Tu es une victime expiatoire qui a accepté d'endurer le martyr, pour sauver quelques âmes. Cela fut ta première vision de ceux qui ont emprunté la vallée voluptueuse des enfers. Tu devras encore, cher enfant,   endurer 6 autres visions, et tu crieras en les voyant, comme une femme parturiente, ou comme un agonisant. L'heure est aux massacres et au déluge de feux, au chaos des éléments. Le courroux de Dieu est terrible. La terre, le feu, l'air et l'eau se retourneront contre les fauteurs de troubles de l'église de Satan. Retranscris ces visions qui te sont données sans les enjoliver, ni les avilir, avec la profonde sincérité qui est la tienne et que les Cieux ont reconnue. Prie de tout ton coeur cerclé d'épines, et raffermis ta foi. Propage cette parole, qu'elle soit source de méditation, et de repentance avant que pour eux, il ne soit trop tard "... Et la présence s'évanouit,  un sommeil engourdit Le Brebis, tremblant de fièvre glacée, et l'accueillit dans ses  filets quelque peu plus doux et tranquilles. Quelque peu...



Transparente Dame des Cieux ?



14 commentaires:

  1. Il dit a la souris..."t'avais pas vu..."

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  2. C' est une épopée un peu guerrière quand on pense que quand deux disciples ont dit à Jésus après avoir été chassés d' une ville " demande à Dieu de faire descendre son feu afin de les brûler tous", il leur a répondu " mais de quel esprit êtes vous!"

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    1. N'est-ce pas la Vierge qui depuis des décennies dit retenir le bras de son Fils ? Rien ne se fera sans le sang, c'est trop tard;

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    2. Une mère aura toujours les pleins pouvoirs pour retenir le bras de son fils, d' ailleurs de nombreux tyrans n' ont pas de véritable mère.

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  3. va savoir quelle est la part de phantasme et de réalité ? .
    il se peu aussi que tu nous es fait une simple et logique " Overdose " ,
    une sorte de " best of " de l'air du temps .

    en tout cas , ces dernières semaines ,
    tu me semble particulièrement confus / agité ( voir déraisonnable ? )
    une grosse fatigue mental peut-être ? ( mystère ).

    enfin , il me semble que tu en fait trop en se moment !
    ton écriture s'améliore sans cesse et dépasse depuis longtemps Félix le chien .
    mais la répétition des sujets traité fini par faire perdre de la force a l'ensemble .
    j’espère que tu ne va pas finir par devenir ta propre caricature ? ( se serré du gâchis ).

    es si tu prenais ta retraite ?
    que peu-tu faire de plus que tout se que tu a déjà fait
    pour : avertir , prévenir , réveiller , sauver ...
    tu risque de tourner en rond ! .
    d’après moi , tu as atteint un stade tellement haut
    que si tu continu tu va finir par ne plus te comprendre .
    a mon simple petit avis , tu devrais a présent apprendre a te faire rare !
    il me semble que se trouve là , une suite logique .
    rassemble tes meilleurs post , classe les par catégorie : LGBT / FM / AVORTEMENT ...
    et emballe nous ça soigneusement sur ton blog , puis laisse reposer .

    puis rien ne t’empêche de continuer a écrire dans ton coin et de faire une apparition
    tout les deux ou trois mois pour nous proposer quelque chose , a lire (entendre).

    ps:
    te fatigue pas a me répondre , je n'attend pas de réponse ! .
    j’espère juste que se petit mot te permettra d'y penser .


    Salutations le Gall ,

    christophe.b

    re ps:
    je réalise que mon commentaire ne s'adresse qu'a toi ,
    il n'est donc probablement pas utile que tu le publie . bye









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    1. Ce que tu m'écris m'amuse beaucoup ! Mais qui sait ? ...De toute façon, j'ai un travail à achever à côté. La notion de répétition n'est valable que pour ceux qui suivent attentivement. Ce n'est là qu'un blog très passablement lu : tu te fais des illusions, quasiment personne ne connait ce blog et encore moins les pédés; on n'est pas chez FDS ! Internet, en réalité, est très cloisonné. Christophe, vu ta réaction vis à vis des SA que j'aime bien, et celle-ci, comme je t'apprécie, ce serait plutôt à toi, de ne passer que de temps en temps.

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  4. - je suis ravi de savoir que cela t'amuse ! ...certes c'était pas le but , mais bon ,
    peu importe n'aisse pas .

    - je te précise que je ne pense pas me faire les illusions que tu évoque .

    - j'ai du mal a comprendre pourquoi ma réaction vis a vis des SA
    devrai faire que je ne passe plus que de temps en temps ? .

    - mais bon , non seulement je vais suivre ton conseille ,
    mais je vais carrément ne plus revenir du tout ...
    et cela pour deux raison :

    1 - je pense que tu n'a pas perçu toute la bienveillance et le souci a ton égard ,
    qui m'ont pousser a t'écrire ses mots (aussi maladroit soi t'ils).
    je ne t'en veux pas , mais j'en suis tout de même vexé et surtout déçu ! .
    je me demande bien a quoi sa serre de parler avec son coeur ? ( comme avec un vielle ami ).

    2 - je refuse de tourner en rond , avec qui que se soi ! .
    que veux tu , je suis incapable de faire semblant ,
    moi je le vois que ton blog commence a radoté et si tu n'y change rien
    sa va s'enliser ! c'est comme ça , c'est mathématique ( j'y suis pour rien ).
    mais j'ai préférer te le dire .

    bonne continuation a toi le Gall , bye

    christophe.b






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    1. Christophe, tu as le droit de penser ce que tu veux, et je le respecte. C'est ton point de vue. Je ne vois pas en quoi, je radote, je découvre des éléments tous les jours, et ensuite, je les émets, comme le coup du dessus des 33 ans etc. J'ai trop peu de lecteurs pour ne pas me permettre le luxe de répéter.

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  5. Bêêêh ouiiii, elle est étonnante cette réaction épidermique de christophe b... Piqué au vif ? Sur des charbons ardents ? Parce qu'à la lecture du texte moi j'ai ressenti un profond dégoût, pour tous ceux qui s'adonnent à ces saloperies (partouzes, pédocriminalité, vice, stupre, luxure, ripailles obscènes, pestilence), c'est-à-dire la plupart des gros riches de l'élite et leurs subalternes corrompus, qu'ils soient franc-maçons, satanistes ou autres, peu importe, ils se reconnaissent, ce sont eux les plus marqués à l'encre indélébile du "soleil de Satan". ça fait aussi un bout de temps que j'en ai prévenu certains de ce qui les attendait, de changer de comportement pendant qu'il en est encore temps, après chacun à son libre-arbitre. ça rejoint le témoignage d'une femme qui a entrevu le purgatoire et qui racontait comment elle s'était retrouvée être l'antithèse de ce qu'elle était dans la vie terrestre : elle était sale, le cheveux gras, couverte de croutes, l'inverse de la pouffiasse bourgeoise qu'elle était sur terre, ça m'a fait penser à rosana arquette dans le film "the divide", la bourge ménopausée enfermée dans un bunker qui finit comme une serpillère.

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    1. c'est assez bien vu. Nous sommes tous spirituellement sales !

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  6. je n'ai pas dit que nous naissons sales, mais nous le devenons !

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