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*L'Abbé, Ibara, Zoral...
et autres chers "M-A", Mâles Anonymes (anonymes étend le champ des possibles) de la Toile, calmez vos sens, et, après avoir contemplé les œuvres de Catherine de Sienne, de Thérèse de Lisieux, de Thérèse d'Avila, mettez votre main sur l'épaule de Hildegarde von Bingen, ce génie que dans votre faiblesse, liée à vos testicules suractivées, et à des éjaculations par trop copieuses, vous ne reconnaissez pas aux femmes.
et autres chers "M-A", Mâles Anonymes (anonymes étend le champ des possibles) de la Toile, calmez vos sens, et, après avoir contemplé les œuvres de Catherine de Sienne, de Thérèse de Lisieux, de Thérèse d'Avila, mettez votre main sur l'épaule de Hildegarde von Bingen, ce génie que dans votre faiblesse, liée à vos testicules suractivées, et à des éjaculations par trop copieuses, vous ne reconnaissez pas aux femmes.
Vous vibrerez d'enchantement, puis serez saisis d'effroi et de honte, face à ce que fut votre ignorance, et vous reviendrez sur terre, tête penchée et surtout, la queue basse.
Notre petit museau nous indique que vous pinez bien trop, et si cela est indélicat, ce n'est pas bon pour votre glande pinéale.
Abandonnez votre verge ! Fermez vos braguettes,
ces bouches verticales et métalliques,
et ouvrez votre esprit, constatez par vous-même, la perte de vos cheveux
associée à vos fluides éparpillés.
Conservez donc votre semence et,
avec elle, votre conscience,
car conscience sans semence n'est que péril de l'âme.
Divine
L'Abbé en rage, et Brebis, traité de "couillon", car, sous le joug de la pensée dominante,
après avoir visé juste ... les couilles.
Brebis, sans doute chochotte, signale qu'il parle ici de femmes hors-normes et non de pouffes.
Ne serait-ce que pour confirmer la règle des connes,
il existe à cette règle, c'est logique, des exceptions.
Par ailleurs, non, les féministes à la Badinter et à la Beauvoir, ne sont pas notre tasse de thé.
Quant aux Sœurs Aryennes,
le mystère est complet,
et qu'il le reste !
Que l'Abbé nous pardonne, c'est un acte manqué de notre part d'avoir laissé des noms
qui n'avaient pour mission de ne plus y être,
mais qui, au préalable, nous avaient servis de support.
*Suite aux indications de ce grand écrivain d'Abbé nous les avons donc remis.
Notre petit museau nous indique que vous pinez bien trop, et si cela est indélicat, ce n'est pas bon pour votre glande pinéale.
Abandonnez votre verge ! Fermez vos braguettes,
ces bouches verticales et métalliques,
et ouvrez votre esprit, constatez par vous-même, la perte de vos cheveux
associée à vos fluides éparpillés.
Conservez donc votre semence et,
avec elle, votre conscience,
car conscience sans semence n'est que péril de l'âme.
L'Abbé en rage, et Brebis, traité de "couillon", car, sous le joug de la pensée dominante,
après avoir visé juste ... les couilles.
Brebis, sans doute chochotte, signale qu'il parle ici de femmes hors-normes et non de pouffes.
Ne serait-ce que pour confirmer la règle des connes,
il existe à cette règle, c'est logique, des exceptions.
Par ailleurs, non, les féministes à la Badinter et à la Beauvoir, ne sont pas notre tasse de thé.
Quant aux Sœurs Aryennes,
le mystère est complet,
et qu'il le reste !
Que l'Abbé nous pardonne, c'est un acte manqué de notre part d'avoir laissé des noms
qui n'avaient pour mission de ne plus y être,
mais qui, au préalable, nous avaient servis de support.
*Suite aux indications de ce grand écrivain d'Abbé nous les avons donc remis.
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| Le Meilleur pour la fin. Aldébran, merci. Tu nous sauves la mise, Le Brebis en tremblotait sur ses quilles. |
En attendant, et c' est une femme qui le dit, pour une Hildegarde de Bingen du Moyen Age, il y a un paquet de connasses bien actuelles...
RépondreSupprimermais il n'en restera rien de celles-là !
Supprimeret toujours à prendre la défense des hommes !
SupprimerLes connasses sont autant en nombre que les connards et la connerie. La proportion divine existe là aussi.
SupprimerEt le génie est une illusion. Quand on se targue de l'avoir, on a déjà passé à côté. Je ne reconnais pas le génie sauf pour ses désordres psychiques lié à une faible estime de soi, emmurée dans une folie de la toute puissance.
SupprimerNe nous leurrons pas, nous sommes tous le con de quelqu'un ! je suis le con de pas mal de gens, cela m'amuse !
SupprimerAh! Ben ça... tout est une question de perspective. C'est la photographe qui te le dit.
SupprimerMais en dehors de tout ces rapports chaotiques que tout le monde entretient avec tout le monde, l'âme ne cherche qu'à se propulser dans un ailleurs meilleur pendant que l'esprit et le corps se désagrège.
Supprimerc'est cela !
SupprimerBon Dieu! J'avais une conversation sur la déminéralisation lié à la perte de semence, hier? Veux-tu bien débarquer de mon esprit. Hildegarde von Bingen est magique.
RépondreSupprimerça alors ! Mais, c'est pas possible, nous communiquons au-delà des mers !
SupprimerJe crois que pour Ison, plus j'y repense, je sens que c'est lié à la kundalini. La lumière ressemblait à la queue de la comète mais aussi au tube de la lumière doré. Mais je me situais à l'intérieur d'elle, dans le tube.
SupprimerPour la déminéralisation, j'étais sceptique mais je trouvais que ça faisais sens donc, j'ai demandé une validation qui arrive par toi. Quand je demande, je reçois.
Oui, je vais bien finir par le croire. Une personne qui vit une Kundalini est hantée soit par des points lumineux, soit par des filaments; les synchronicités sont aussi un signe;
SupprimerAu cours d'une nuit, je me retrouvé tétanisé dans une spirale colorée...
SupprimerTétanisée est le mot juste. Ça ressemble à mon truc mais la mienne était blanche. Outre l'effroi, je n'avais aucune douleur autre. J'ai fermé le canal et tout le chi-bang dans ma vingtaine car j'avais trop peur mais de créer autant depuis deux ans, me fait ré ouvrir mes canaux. Avec la création, impossible pour moi de marcher à la fois fermée et ouverte. Mais je ne force rien, je ne cherche rien et je demande de la douceur.
SupprimerBon Dieu! J'avais une conversation sur la déminéralisation lié à la perte de semence, hier? Veux-tu bien débarquer de mon esprit. Hildegarde von Bingen est magique.
RépondreSupprimerJe crois que pour Ison, plus j'y repense, je sens que c'est lié à la kundalini. La lumière ressemblait à la queue de la comète mais aussi au tube de la lumière doré. Mais je me situais à l'intérieur d'elle, dans le tube.
SupprimerPour la déminéralisation, j'étais sceptique mais je trouvais que ça faisais sens donc, j'ai demandé une validation qui arrive par toi. Quand je demande, je reçois.
Tétanisée est le mot juste. Ça ressemble à mon truc mais la mienne était blanche. Outre l'effroi, je n'avais aucune douleur autre. J'ai fermé le canal et tout le chi-bang dans ma vingtaine car j'avais trop peur mais de créer autant depuis deux ans, me fait ré ouvrir mes canaux. Avec la création, impossible pour moi de marcher à la fois fermée et ouverte. Mais je ne force rien, je ne cherche rien et je demande de la douceur.
SupprimerPauvre petit couillon. Ta pensée parfaitement homogène, finalement à la doxa dominante.
RépondreSupprimer1. Si tu ne vois pas, ne constate pas, ne ressens pas le féminisme triomphant, que notre époque est gynécocratique, que c'est la base, c'est que tu n'es pas équipé intérieurement pour ça.
2. Comme les gonzesses féministes tu tiens l'équation misogyne = beaufs, dominés par leur queue.
Pauvre couillon. C'est exactement le contraire.
Tu penses qu'Ibara et moi sommes des gros beaufs ? Mais les beaufs sont tous, sans exception des féministes, parce qu'ils sont équipés pour tout céder aux bonnes femmes. Baudelaire, Aristote, Flaubert, les Goncourt, Conrad, Rimbaud... je pourrais continuer la liste des grans misogynes jusqu'à demain, sont donc des Gros Cons ?
Non. Ils ont tous en eux une goutte de féminité, qui les rend intérieurement conscient de la polarité femelle, et qui les empêche d'^tre la dupe des simagrées du sexe ennemi. Cette goutte de féminité, en outre nous préserve de l'effémination spirituelle, comme la tienne, ou de la lourde beauferie qui pue des pieds comme les mâles intacts avec qui tu nous confond.
Je défie un des beaufs qui va s'empresser d’acclamer tes dires, d'être l'auteur de la Jeune-Morte.
J'ai toujours affirmé que les vrais responsables de la Gynécocratie sont les mâles.
Cons comme toi. Retourne donc bêler sous les jupes de la Sororité Aryenne, puisque ce sont les dessous d'un mâle et qui te baise bien.
Ah, ah, ah ! je ne suis nullement féministe ! Quant AUX SA, si tu as leurs coordonnées ?
SupprimerPauvre petit couillon. Ta pensée parfaitement homogène, finalement à la doxa dominante.
RépondreSupprimer1. Si tu ne vois pas, ne constate pas, ne ressens pas le féminisme triomphant, que notre époque est gynécocratique, que c'est la base, c'est que tu n'es pas équipé intérieurement pour ça.
2. Comme les gonzesses féministes tu tiens l'équation misogyne = beaufs, dominés par leur queue.
Pauvre couillon. C'est exactement le contraire.
Tu penses qu'Ibara et moi sommes des gros beaufs ? Mais les beaufs sont tous, sans exception des féministes, parce qu'ils sont équipés pour tout céder aux bonnes femmes. Baudelaire, Aristote, Flaubert, les Goncourt, Conrad, Rimbaud... je pourrais continuer la liste des grans misogynes jusqu'à demain, sont donc des Gros Cons ?
Non. Ils ont tous en eux une goutte de féminité, qui les rend intérieurement conscient de la polarité femelle, et qui les empêche d'^tre la dupe des simagrées du sexe ennemi. Cette goutte de féminité, en outre nous préserve de l'effémination spirituelle, comme la tienne, ou de la lourde beauferie qui pue des pieds comme les mâles intacts avec qui tu nous confond.
Je défie un des beaufs qui va s'empresser d’acclamer tes dires, d'être l'auteur de la Jeune-Morte.
J'ai toujours affirmé que les vrais responsables de la Gynécocratie sont les mâles.
Cons comme toi. Retourne donc bêler sous les jupes de la Sororité Aryenne, puisque ce sont les dessous d'un mâle et qui te baise bien.
T'es vraiment comme une gonzesse, pas étonnant que tu les défende. Tu n'as aucune suite dans les idées. Il est impossible m^me de polémiquer avec toi. Ta cervelle ( je ne dis ni ta virilité, ni ton courage, ni tes gouts sexuels, mais ta cervelle) est femelle. Tu as écrit " ce génie que dans votre faiblesse, liée à vos testicules suractivées, et à des éjaculations par trop copieuses, vous ne reconnaissez pas aux femmes."
RépondreSupprimerTu as donc affirmé, si vous êtes misogynes c'est parce que vous êtes trop liés à vos couilles. Des beaufs.
Je me fous de tes opinions sur le génie, des hommes, des femmes, et des ratons laveurs.
Tu a pensé exactement comme une conasse féministe.
Je me fous de savoir que tu sois féministe ou pas.
T'es vraiment comme une gonzesse, pas étonnant que tu les défende. Tu n'as aucune suite dans les idées. Il est impossible m^me de polémiquer avec toi. Ta cervelle ( je ne dis ni ta virilité, ni ton courage, ni tes gouts sexuels, mais ta cervelle) est femelle. Tu as écrit " ce génie que dans votre faiblesse, liée à vos testicules suractivées, et à des éjaculations par trop copieuses, vous ne reconnaissez pas aux femmes."
RépondreSupprimerTu as donc affirmé, si vous êtes misogynes c'est parce que vous êtes trop liés à vos couilles. Des beaufs.
Je me fous de tes opinions sur le génie, des hommes, des femmes, et des ratons laveurs.
Tu a pensé exactement comme une conasse féministe.
Je me fous de savoir que tu sois féministe ou pas.
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