mercredi 27 mars 2013

Les démons...

                                                                             

Les attaques contre certains principes religieux séculaires ne datent pas d'hier. Le Showbiz  citadin, entre coke et partouzes, aura toujours eu horreur des péquenauds, et des campagnards, dont nous sommes. 
L'apologie  médiatique ouvertement démoniaque aura pris son essor dans
les années 70.
 Cette vidéo
dont le thème (église, curé pervers etc.) est volé aux clips de la dite Madonna
ne mérite même pas qu'on s'y appesantisse
tant elle est bête et grossière.
Le catholicisme gangrené par la pensée maçonnique, et ne servant désormais plus à rien,
pour l'établissement du NOM/NWO, 
n'est plus que l'objet de persiflage
et de moqueries. Quant à Jésus et Marie,
eux, ils sont relégués aux oubliettes.


15 commentaires:

  1. Je ne peux que me ranger à ce triste constat, au moins il y a quelques années, les esprits matérialistes qui allaient au bistro pendant que leur femme allait à la Messe s' en souvenaient sur leur lit de mort mais à présent qui appelle encore un prêtre pour recevoir l' extrême onction? Ils quittent la terre en blasphémant.

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    1. Ce qui est inquiétant, c'est cette déspiritualisation du monde occidental...c'est très grave.

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  2. Très chere Docteur Anna, je pense exactement comme vous...mais il faut arrondir les angles, ah, ah, ah !

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  3. Chère Brebis,

    Nous allons tenter cette exercice si difficile. Dire la vérité sans angle droit. Arrondissons donc ce verbe qui sous souvent taille et coupe si profondement nos adversaires.

    Lumineuse Semaine Sainte à vous !

    PS: N'oubliez pas au Vendredi Saint de prier pour la conversion des "perfidi Iu**orum" comme l'enseigne le catholicisme dans sa plus pure tradition. (le catholicisme de grand papa, le vrai)

    Dr. Anna Foster – Termitologue
    Universität Adolf der Grosse
    Berlin – Deutschland

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  4. Bonjour Brebis. Ce que vous évoquez dans ce billet est une des raisons qui m'a motivé à faire revivre ma foi. J'ai toujours été croyant mais pas très pratiquant. Ils n'aiment pas Jésus, et bien je redouble de croyance. Ils n'aiment pas les racines de la France? Et bien je m'y rattache.
    Ma foi je la mets en l'Amour des autres, en Jésus, le vrai. Hors de question que je mette ma foi à la disposition de l'obscurantisme.
    Très bonne journée!

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    1. Chers Etudiants, Chers Lecteurs,

      J'ai effectué de même un parcours de réapropriation de mon identité ses dernirères années et cela sur deux plans, le plan culturel et le plan religieux.

      Ce processus de réapropriation a débuté par une prise de conscience alors que, par mes voyages, je devenais un homme du monde, un homme sans racines, sans attaches, un homme qui se cosmopolitisait. J'ai donc décidé de faire un retour sur ce que j'étais et cela en remontant dans le temps, en me re-programmant différement de ce que le mainstream médiatique et le milieu ambiant où j'évoluais.

      La réapropriation la plus difficile fut la réapropriation de la pensée religieuse. J'ai pris comme point de référence mes grand-parents. Je les avais regarder le monde qui changeait, je les avais vu parlé et être surpris voir scandalisé et je les avais aussi vu prié. J'ai donc décidé consciement de me réaproprier une vision du monde, cette manière de penser et une manière de vivre intérieurement et extérieurement qui était la leur. Ce ne fut pas facile mais aujourd'hui j'ai repris leur manière de voir les choses, de penser le monde et la vie et surtout de vivre autrement.

      Cette réapropriation religieuse et culturelle ou cette reprogramation conduit à se refuser, à s'opposer, à s'interdire ce que le monde et sa pensée normative propose, permet et impose. J'ai retrouvé cette capacité à me scandaliser, à m'indigner et à m'opposer par ma manière de penser, parler et vivre à ce monde et ses maîtres veulent me faire croire, penser et agir. Je peux dire que je me suis échapper de leur monde faux, menteur et pervers. Maintenant, je le regarde, je les observe et je les vois agir.

      Pour ce réaproprier une manière de penser, de parler et de voir, j'ai lu et mémorisé de mon mieux un catéchisme catholique des années 1765, le fameux catéchisme de Mâcon (on le trouve sur google et il y en a d'autres semblables en ligne de la même époque). Déchristianisé, je me suis re-christanisé en lisant des oeuvres d'auteurs catholiques d'avant 1965, d'avant le grand aggiornamento au monde des catholiques par Vatican II. Mes grand-parents ont vécu avant cette date et n'étaient pas pour le moins hérétiques ou schismatiques et ce qui était vrai pour eux l'est encore pour moi aujourd'hui.

      Se reaproprier ainsi un passé, se reprogrammé, se re-christianisé, se re-catholicisé, se re-sensibilisé à Dieu provoque bien des changements et boulversement dans la vie quotidienne. On est contraint à changer dans ses relations, fréquentations et dans bien des détails du quotidien et surtout le dimanche où je me contraind à fréquenter au moins une église ou un service religieux catholique de tendance traditionaliste.

      Maintenant, je vis et je vois le monde d'un autre regard et surtout j'ai redécouvert les ennemis d'autrefois, les ennemis de ma culture et de ma religion. Eux n'ont pas changé, moi je suis redevenu ce que j'aurai toujours du être: UN HOMME CROYANT AVEC LES YEUX DU COEUR, DE L'AME ET DU CORPS TOUJOURS BIEN OUVERT ! UN HOMME SORTI DES TENEBRES ET DES FAUSSES VALEURS DE CE MOMDE ET AVEUGLÉ PAR SES FAUX MIROIRS.

      Cette re-programation religieuse a eux des conséquences dans tous les aspects de ma vie quotidienne. J'ai changé de monde !

      Lumineuse Semaine Sainte à vous !

      Dr. Anna Foster – Termitologue
      Universität Adolf der Grosse
      Berlin – Deutschland

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    2. Docteur Anna, il va falloir corriger qq fautes d'accord, et réinvestir le féminin !

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    3. Quel superbe témoignage Docteur!
      Grâce à ce retour sur moi-même, je me suis rendu compte à quel point la foi était un trésor.
      J'ai vécu une enfance vraiment heureuse, et c'était l'époque où j'allais à la messe avec ma grand-mère. A partir de 20 ans j'ai fait pas mal de conneries, je me suis auto-détruit, j'ai bouffé du rap comme un rat mange du gruyère, je suis passé par la toxicomanie, et il y a deux ans, je me suis rendu compte du mal que je faisais autour de moi. Ca m'était insupportable de savoir que je rendais les gens tristes.

      Il a fallu, comme vous, que je me reapproprie ma vie et que j'arrête de tomber dans les pièges de la société. la culpabilité me rongeait.
      Une des paroles du Notre Père qui m'a sauvé et que j'ai bien compris maintenant, c'est "ne ne soumets pas à la tentation". Pour un toxico, je peux vous dire que ça parle une telle phrase. Comme vous j'ai coupé net les liens avec quiconque serait susceptible de me remettre le nez dans la poudre.
      Finalement, je me suis rendu compte que lorsque j'étais petit, que j'étais heureux, le Seigneur m'accompagnait. Il faisait partie de ma vie. Mais je ne me rendais pas compte de son importance. Grâce à lui et à ma famille, j'ai réalisé à quel point il était important pour moi d'aimer les autres et de bien me comporter. Plusieurs fois je suis passé à côté de l'over dose, et je pense que c'est un miracle si aujourd'hui je vous parle. Je ne vous cache pas, et ça aussi c'est grâce à Dieu, que j'ai toujours gardé un espoir de m'en sortir un jour, alors que j'adorais me défoncer. Ca devient vite une mauvaise passion.

      Aujourd'hui j'estime avoir la tête claire, et je me rends compte à quel point la société ne fait que piéger les gens.
      Ah oui, j'oubliais, une anecdote. Ma grand mère enseignait depuis plus de 20 ans le cathéchisme aux enfants du village et a du arrêté il y a une dizaine d'années car les enfants devenaient intenables. Indisciplinés, avec sans doute des parents laïcards, le message du Christ devient assez désuet. C'est très dommage car lorsque vous ne le respectez pas vous ouvrez la porte à pas mal de vices. En tout cas je n'aurai peut-être pas du m'en détourner, mais ma soif d'exister à travers la connerie était plus forte que tout. L'auto-déstruction par le plaisir chimique. Alors quand j'entends dire que le cannabis c'est peut-être pas mal, j'ai envie de les gifler! Ca va favoriser les jeunes à prendre des pentes dangereuses.
      Je vous témoigne également toute mon amitié et vous souhaite d'être heureux.

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    4. Oh, la, la ! Tu es passé par tout ça ? Si j'avais plongé dans la drogue, avec ma Kundalini, je serais mort depuis belle lurette. Il me reste un dernier vice : je clope !

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    5. Je ne supportais pas l'ordre et la morale, je refusais l'autorité. En 1993 est sorti un album d'ntm, et avec le recul, je peux dire et affirmer qu'ils ont fait du terrorisme culturel. Je me suis conditionné pendant des années à tout rejeter, et je ne m'en rendais pas compte. J'étais nul en cours et j'ai opéré une lente descente vers la déviance.
      Je vous rassure Brebis, je clope et bois quelques coups le soir. Après le sevrage j'ai du me recréer des centres d'intérêt car la vie peut paraître ennuyeuse après avoir essayé les paradis artificiels, qui sont en fait l'enfer. D'où ma conclusion: le bonheur est quelque chose de subtil, qui prend du temps à construire, et qui est à l'inverse de l'instantanéité des plaisirs terrestres.
      Le bonheur est silencieux là où le plaisir est évident. On peut être et ne même pas s'en apercevoir.

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    6. Avec le recul, quand je vois que Jack Lang a mis ntm sur le podium de la culture, vous devinez ce que je peux penser au sujet de cette clique mortifère.

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    7. Lang mérite la pendaison, comme tant d'autres...

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  5. Chers Etudiants, Chers Lecteurs, Chère Bregis,

    Oui ! Tout à fait vrai ! Il faudra que je me réaproprie l'orthographe de la langue française. Cela fait plus de 40 ans que je ne l'utilise pratiquement plus. Grâce au Net je me suis remis à l'écrire même si des fois je ne sais plus comment on orthographie un mot ou de savoir si il est féminin ou masculin. Quand au accord du participe passé, autrefois je fus incolable sur se point mais avec le manque de pratique, tout c'est un peu envolé et je ne remarque moi-même plus mes propres fautes orthographiques. La langue française est une belle langue que j'ai parlé pendant 15 ans de ma vie. C'est seulement après avoir vécu 15 ans sans la pratiquer, que je suis rendu compte que je la perdais. Je n'arrivais plus à la parler correctement. Maintenant ça va mieux. On ne remarque presque plus mes erreurs de synthaxe lorsque je la parle mais lors que je l'écris c'est toujours scabreux. La réapropriatin de ma propre langue maternelle va bon train même sur le plan orthographique. Du moins je le crois ;-)

    Lumineuse Semaine Sainte à vous !

    Dr. Anna Foster – Termitologue
    Universität Adolf der Grosse
    Berlin – Deutschland

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    1. Chère Anna, non pas ce féminin-là ! Le féminin pour parler de soi ! "je suis redevenu ce que j'aurai toujours du être: UN HOMME CROYANT "...Anna : 'je suis redevenuE ce que j'auraiS toujours dû être : une Femme croyante..;"

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