jeudi 19 septembre 2013

Le Lac des Singes*

Black et Gué
                 Ce que les intellectuels fatigués d'aujourd'hui, sudation du judaïsme,  appellent "provoc", est, en général, une soupe bien convenue de délires plus ou moins bien torchés contre le  catholicisme et contre les racines aryennes. 
Donc, ici, bien sûr, hommes en tutu (Chazot l'a fait il y 50 ans),
substitution où noir remplace le blanc,
 pédérastie au sens gué,  à mort,
le métis, quintessence du "must",
féminité à l'endroit du masculin.
Etc.
Le principe est  l'inversion des valeurs : l'homosexualité,  le métissage, passage de l'homme à la femme, avec longue transition si possible, la démonologie, la violence, le bien est un mal, le mal est un bien, etc.
Ce qu'on appelle, "marcher sur la tête".
Etant donné la vie que nous avons vécue et traversée, la "provoc" surtout plutôt de notre côté.
Il y a 10 ans, ce mot était très à la mode, et nous nous souvenons d'une discussion avec un petit, mais alors petit, réalisateur 
qui ne cessait de parler, en parlant de scènes, de "provoc".
"La Provoc", lui avons-nous rétorqué,
"C'est de voter Le Pen" ! 
Il est resté sur le plateau comme deux ronds de flanc.
Et, c'est sans parler, des portes qui se sont refermées violemment, puisque nous ne fréquentions que bis, pédés, gouins, juifs, maçons, et dits "intellectuels" de gauche,
et  fallait la voir leur tronche dépitée, quand  nous leur avons déclaré, en 2002, avoir
voté Le Pen,
tout en précisant, bien sûr, que "Le Pen était biiiienn trop à gauche de nos idées".
De cette époque, il nous reste 2 vrais amis, un traducteur et une coiffeuse, à comparer à la quarantaine qui nous vibrionnaient autour.
Cela nous fait penser à ce ventriloque homo
petite célébrités des années 60,
et qui nous avait confessé la chose suivante :
"finalement, c'était bien plus rigolo, quand tout ça se passait, sans exhibition, in the closet,
sans revendication,
plutôt que délivré au tout-venant".



C'est aussi l'avis mondial de la reine mondiale de la "Folle",
Quentin Crisp, qui a décrit ça dans son ouvrage,
"The naked  civil servant",
une sacrée méchante, à la langue phallique pendue jusqu'aux genoux,
(Lisez ce que dit Quentin des gués ou de Princess Di)
d'une élégance extrême, vivant cependant dans un taudis où il ne fit jamais le ménage pendant 40 ans, avec cette sortie sublime "au bout 4 ans, la crasse ne s'accumule plus", une sorte de John Steed efféminé, 
 et qui n'aura cessé d'envoyer  bouler les militants LGBT,
car, rétif, il ne croyait tout simplement pas aux valeurs que ces maçonnisés véhiculaient.
Prenez-en de la graine, les connasses.
Ce qui est épouvantable chez les gués, c'est la noirceur sous la paillette, leur obscénité, leur fascination pour les Usa, et ce misérable  esprit grégaire dénoncé par ce terme à la mode dans les années 90, "les clones".
Qu'y -a-t-il de plus moutonnier qu'une guépraïde,
cette piètre valetaille ?
Si, une manif de la CGT, du Front de gauche,
 ou celle encore des maçons :. en mai 2002 contre l'épouvantail Le Pen !


* Le jeu de mots est de l'auteur  de "black et gué". Le Brebis dont le fort n'est pas l'insolence, englué dans le politiquement correct, ne se le serait certainement jamais permis, pire,
faute d'imagination, n'y aurait pas même songé.





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