samedi 28 septembre 2013

Fukushima, mon Fol Amour.

                                                      
Belle et jolie comme un cœur.

Cette  frappadingue de Duras, très talentueuse néanmoins, n'a cessé de lécher le cul du Talmou, (elle qui comptabilisait 7 au lieu de 6 millions, et pourquoi pas 13 à la douzaine, de victimes "non-chrétiennes", les autres, inutile d'en parler, elles comptent pour du beurre)...a lancé, dans les années 60, la mode de l'expression "Hiroshima, mon amour", film dont elle fut la scénariste, et dont,  "La guerre sans l'aimer" du répugnant Bernard-Henri
est presque le pastiche. 
Alain Reisnais fut le cinéaste de Hiroshima à la sauce de Saint-germain-des-Prés,  amant de Sabine Hazéma, et ami d'Arditi, (un infect bonhomme de gôche qui paradait et circulait en 4/4  polluant, en plein Paris)  a parfaitement  su où caler sa langue.
La Sagan, écrivain de bien moindre rang, avait cependant, eu cette bonne réplique :
"Hiroshima, mon amour, et pourquoi pas, Auschwitz, mon chou !"
Et en effet, pourquoi, ne pas en faire une pâtisserie délicieuse qui fasse office, comme la fameuse Madeleine de Commercy, de devoir gustatif de mémoire?
Au tour, désormais de 
"Fukushima, mon Fol Amour" qui ravage le Japon et  risque fort d'achever notre pauvre Terre.
                                                       By Courtesy of Crash de Bug



La Vie ne fait pas de cadeau.

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