vendredi 21 février 2014

Au Feu !


                                                                                  
Quel sera l'incident qui mettra le feu aux poudres, et enclenchera les festivités contre-maçonniques, festivités et feux d'artifices que nous attendons depuis deux décennies, depuis ce jour où le puzzle s'est brusquement mis en place, et où  nous avons compris, euréka, l'alliance démoniaque,
 et la nature réelle de la dictature, qui sévissait en France et qui n'était nullement, tel que le présentait le torche-culs des gauchos de Libé , "un fantasme d'extrême-droite".
Arrêtons avec ce tabou : ouvrez les yeux, les oreilles, 
et la Gueule, bon sang ! 
Votre cervelet shoatisé ne réagit-il plus !
Bref, comme disait Pépin, quand donc passerons-nous des poussettes, des nounours et des ballons à l'hélium, aux explosifs et aux bulldozers ?
Les bretons, ces nigauds  votent à gauche, plus pleurnichottent. Ces gros bras de routiers au ras des paquerettes et du bitume,s'attaquent aux portails de l'éco-taxe, mais n'ont pas idée de remonter la filière, et de faire exploser les locaux du GO et du Crif. 
Chasse ouverte aux franc-macs, apologie de crime contre une sous-humanité rampante, dénonciation en masse, interdiction de la Maçonnerie, de la diffusion des théories Lgbt, de l'avortement, et expulsion immédiate des bi-nationaux et des fils de Sion ... seraient les premières mesures prises.
Seraient pardonnées, parmi les ff :., les repentis, ceux qui avoueraient leurs péché et leurs fautes.
Quelques têtes  bien ciblées qui valseraient dans lesairs, suffiraient, croyez-nous pour que la bascule La vue sur la place publique de quelques rats de loges sur l'échafaud,
calmerait vite certains esprits chauffés à blanc.
Soyons sans pitié comme ces ordures de médecins et ces salopes de mères en puissance  qui avortent.
Quand donc foutrons-nous le feu à la baraque de cette sinistre fête foraine ?
La conjugaison d'un certain esprit chrétien et de la pression constante de la société consumériste,  a ramolli les cerveaux.
Revenons aux fondamentaux : plutôt la guerre que cette fausse paix !

    Au Feu :.  !

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