Le ciel est si brouillé, si tordu, si tourmenté, qu'on se croirait au musée, face à un Van Gogh, ahurissant.
Nuages chimiques inconnus au bataillon des nébulosités normales.
Si le temps n'était pas altéré, seuls les petits cumulus dits à escient de "beau temps" devraient être là. Or, ce n'est pas le beau temps et par la volonté diabolique du NOM,
le reste du ciel s'en retrouve brouillé.
1 kilomètre plus loin.
Songez que les aluminium, baryum, strontium etc. se retrouvent dans les eaux de pluie et dans les sols, et les sources.
Le Télégramme, torche-cul FM et gauchisant, a bon dos de parler de pollution due au volcan
islandais.
Van Gogh, visionnaire.
Son tourment a gagné nos propres cieux.
Le sien est orageux sont d'orage. Les nôtres, sont de démonologie.
Le Télégramme, torche-cul FM et gauchisant, a bon dos de parler de pollution due au volcan
islandais.
Van Gogh, visionnaire.
Son tourment a gagné nos propres cieux.
Le sien est orageux sont d'orage. Les nôtres, sont de démonologie.
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