vendredi 22 août 2014

Violetta, la Reine du Kitsch aux 5 octaves...


Violetta porte sa croix.
Soyons assurés qu'avec Zarah Leander, 
l'Empereur  Adolf, eut été aussi très ému par les performances scéniques et vocales de la Villas.
Violetta réussit, en jouant outrageusement,
sur les octaves, aux environs de 5 octaves,
à nous éberluer avec la pourtant si rébarbative
"Carmen", avec laquelle La Callas et autres nous auront assommés.  
Elle est démentielle, se fichant du bon et du mauvais goût qu'elle transcende haut la main.
                                                                             


   Violetta, la divine polonaise, si bouleversante quand elle chante "Mamö", ("Maman") mérite d'illustrer les fantaisies érotiques des Soeurs Aryennes.
Même l'étonnante Yma Sumac, produit de studio, peut aller se rhabiller. 
Idem pour Marylin Horne
(vue au Châtelet, nulle sur scène),
quels que soient leurs talents respectifs.
A quand donc un hommage des Sœurs à Zarah et 
Violetta ? 

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