Be soppy, be happy.

Donnons dans le nunuche, et écoutons, sans rire,

ces affirmations sur nos origines  spirituelles  et cosmiques,

et le brouhaha spirituel qui va avec.
Ces élucubrations spirituelles

sont dignes de ces niaiseries de citations d'Albert Einstein, escroc et pilleur notoires des thèses de Henri Poincaré, et que beaucoup croient de bon ton, pareils à des mules enseignées par un âne, de placer en exergue de leurs écrits, comme si ceux-ci revêtaient d'ailleurs une quelconque importance,
quand les abysses du temps, les auront vite broyés et annihilés.

La prétention, visiblement, a de l'avenir devant elle dans ce vecteur et ce support de connaissances qu'est la Toile.

Parmi les citations  censé aider à tracer un chemin d'existence, 2 surnagent au-dessus du lot, et sont répétées à l'envi.

2 mensonges, 2 foutaises qui vont de paire comme des nichons.
 

La première :

"Aimez-vous les uns, les autres".

L'amour terrestre n'existe  pas, et s'il existe pour quelques éberlués ou chanceux (?),

il est d'une insuffisance complète,

ce qui s'en rapproche le plus est la tendresse pour les animaux.

Aimer et être aimé est parfaitement inutile,

puisque l'accomplissement de l'amour terrestre est un leurre.

Aimer et être aimé est une recherche que nous avons personnellement abandonnée

il y a 20 ans, car elle est vaine, 

et qu'elle vaut aux humains,

ce que le miroir vaut aux alouettes. 

Il n'existe que des intérêts, et des pulsions passagères. 

La seconde :

"Connais-toi toi-même".

Autre niaiserie, autre duperie.

Se connaître, ne serait-ce que soi, est impossible.

Un psychanalysé avec 30 ans d'expérience reconnait, certes, et identifie ses mécanismes psychologiques, mais il ne sait  proprement rien de son âme,

ni de sa Source, ni de ses tréfonds.

Sait-il seulement  si sa conscience survit ou non, à la mort de son corps ?
Non.

Quant à celui qui a la foi, cette foi n'est nullement le garant d'une vie éternelle, au-delà du corps physique.

Nul témoignage, aucune EMI, ni même aucune Kundalini, ne sont, en soi, des preuves suffisantes.
Ils sont des pièces d'un Puzzle, dont il serait présomptueux de prétendre que nous saurons un jour le déchiffrer.

"Aimez-vous les uns, les autres " & "Connais-toi toi-même", sont  à prendre pour  ce qu'elles sont :  des boutades d'ivrognes 

lancées à la volée, pour amuser la galerie,

et qu'elles amusent d'ailleurs depuis des 
millénaires.

Libre aux individus de croire en ces facéties,
 et à ces sornettes sur la suprématie de l'amour et la "connaissance" de soi.
Certes, nous n'apportons rien à l'humanité, mais celle-ci ne nous apporte rien, non plus.