samedi 17 mai 2014

20 ans


Valls Bilderberg valse et nous nargue, Les chemtrails trailisent à mort, le Crif  fait sa loi, le GO met ses armées d'UMPSistes en rang d'oignons. 
Rien ne bouge, et la France, envahie par les bas-fonds de l'Islam, et tenue de mains de maîtres par les cloportes de Sion, s'enfonce en silence.
Propoagandes-Info , Le Citoyen Engagé sont censurés, et la blogosphère ne réagit pas.
Chriss-Alphabéta, en ayant assez de faire les comptes des "chonces pour la Fronce" qui débarquent à Lumpedusa, n'écrit plus...
C'est la déroute dans la résistance qui d'être d'attaquée, vilipendée, s'en trouve lassée.
Ni Christ, ni Marie, ni Enki, ni Résurrection, ni Réincarnation qui vaillent.
Les Cieux sont vides ou vidés, les religions sont fausses ou faussées, les Lumières avortées,  Kundalini spiralise pour rien, les Chanelleurs racontent des conneries 
sur nos prétendus "frères de lumière", plédéiens et autres,  qui ne se manifestent pas,
et souffrent, semble t-il,  de procrastination.
Et, nous qu'avons à dire, dans ce manège qui, brinquebalant, tourne en rond ?
Rien.
Sauf que cela fait depuis mi-mai 1994 que notre joie  de vivre est morte, poignardée dans une gare, au loin, et que notre corps lui, survit  et vieillit comme une mécanique rouillée.
Mai 1994, soit 20 ans,  20 ans qu'un visage tant aimé nous revient parfois la nuit,
visage que nous ne voyons plus que de cette manière,
et 20 ans, que nous-même avions, impuissant, pressenti la tournure fatale des choses,
et que l'abîme en nous-même a rejoint celui de cette civilisation.
Les amitiés, elles, sont rompues. 
Ceux de notre famille que nous aimons, toutes et tous plus âgés que nous, s'éteignent, se dissolvent, meurent, disparaissent, et partent sans laisser de traces.
Notre unique  amour et ces rares amitiés sont détruites,
et ne vivent qu'en notre for intérieur, cette tour d'ivoire fêlée.
Seuls nous restent encore nos animaux.
Ferré est excessivement "verbal",  vocalement, poétiquement, musicalement chaotique, cependant, qui nierait son lyrisme sincère ?
Qui réparera l'âme des amants tristes  ?
Que cela soit dit : personne.





Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire