samedi 12 avril 2014

Kill Ill


       By Courtesy of  Samuel, meiner unmöglichen Liebe.
Samuel , avec un génie de la composition et de la maitrise de l'image, prouve et démontre en un clic, l'imposition forcée, au travers de montages chocs, de ce que nous, nous tentons de démontrer si laborieusement, avec un langage alternativement si pauvre, si maladroit ou si abscon :
la main-mise  l'esclavage des terriens, de la faune, de la flore, de la Terre, globe terrestre donc compris, 
par une oligarchie malade -La Loge, la Monarchie anglo-saxonne, et la Gogue.- qui n'a qu'un Dieu, le dollar, et qui n'a qu'un avenir, si nous tenons au nôtre : être détruite.
Quant à cette Kate, nous ignorons qui elle est, et tant mieux. Hollywood nous sort annuellement des bas-fonds une nouvelle et répugnante succube. 
Brebis sur ses ergots (pardonnez-lui, il ne sait pas filer de justes métaphores) est fier d'avoir contribué à sortir Samuel du carcan du cercle linguistique germanique.

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