vendredi 13 décembre 2013

Mad Donna


Madonna ou la "Mad Donna", "Mad" de l'anglais conjoint au "Donna" de ses origines italiennes,
rebaptisée "Esther".
La "femme folle" à défaut d'être fatale, quoique fatale elle le soit, au sens de létale, cette icône pourrie et Anti-Madone et anti-Vierge.
Exposée aux vents mauvais, elle l'est aux flatulences du nouvel ordre moisi,
 femme maudite inspirée par les écrits démoniaques du Talmoud et du Zohar, les Bibles de ses Maîtres.
Quand donc vont-ils la sacrifier et  la clamser,
cette salope,
sur l'autel de leur Satan, comme ils l'ont fait avec Michael Jackson qui portait les mêmes initiales que cet autre,  Mick Jagger , issu de la confrérie talmerdique, et de la London School of Economics,
et qui, pire qu'un Gainsbourg, mais au même titre que le camé Bob Marley, aura  contribué à saper de nombreuses générations ?
Dans les années 70, il n'y avait de place que pour les
 incubes, les années 90 ont laissé la place aux succubes et autres Lilith.
La marionnette "M"  parvient sans doute  malgré son âge, et ses multiples artifices esthétiques à servir "la" cause.
Contrairement aux chrétiens, nous ne pensons nullement que les procédés occultes soient systématiquement nocifs, le dieu chrétien n'étant lui-même qu'une forme-pensée : une paume levée vers le ciel, l'autre, tournée vers la terre, est un processus de nettoyage éthérique connu de diverses traditions.
 Par contre, le détournement des procédés ésotériques, comme celui de la Pyramide, par le NOM/NWO est avéré.
By Supreme Courtesy of
 

 

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