Il est rarissime que je me dépare de mon masque protecteur d'ovidé, une fois n'est donc pas coutume, car parler de soi et de ses bobos ne présente que peu d'intérêt. Préparez-vous, c'est un pavé, ce qui est indécent sur la toile, ou reculez illico, et retournez immédiatement sur vos pas. J'ai largement dépassé l'âge de me faire des illusions sur la nature humaine. Sans doute m'en faisais-je encore quelques unes sur ceux de ma race que je pensais être de mon clan. Hélas, si la Bretagne s'est sabrée en passant stupidement du bleu au rose, sous l'influence des écoles républicaines :., la Bretagne dite de droite, ou franchement identitaire, ne vaut guère mieux. Il y a quelques jours de cela, et je n'en ai pas parlé sur le coup, il m'est arrivé la petite mésaventure suivante : mon propre village qui ne rassemble pas plus de 1000 habitants, est le terrain de jeu d'une bande de branleurs motards, de motocross plus précisément. Il se trouve qu'un samedi de début septembre, je me suis retrouvé, vers 22 heures 30, face à face avec 3 jeunes casqués qui sur leur véhicule terrorisent avec leurs pointes de vitesse et leur vroom-vroom, l'ensemble du bourg. Rompant comme à mon habitude en visière, j'ai traversé la route et bloqué 3 jeunes à toute berzingue, pour leur dire le fond de ma pensée. Bien sûr, le ton a monté. 3 petits merdeux ne me faisait pas peur, quand, inopinément est arrivé le reste du troupeau, environ 5 de plus dans mon souvenir, ainsi qu'une bagnole conduite par une fille et que je ne savais pas faire partie de leur meute ! Cela faisait donc environ 8, sans compter les 5 ou 6 que contenait la grosse caisse. Bizarrement, je n'ai pas eu peur, et c'est sans doute là que ma propre folie meurtrière s'est retournée contre moi. Ils étaient donc une bonne douzaine, et, voyant en moi un ennemi brutal, ils m'ont encerclé. Deux filles ont tout d'abord tenté (oui, oui !) de m'accrocher au colback. J'ai pu m'en dégager, mais le troupeau m'ayant encerclé, et faute d'avoir eu une vision circulaire, le coup est venu sur ma droite, qui m'a visé et fracassé le nez (radio à l'appui). Aussitôt, je suis parti en vrille, car le nez est bien la partie la plus sensible, je me suis donc écroulé au sol, sonné... Ils n'ont pas osé aller plus loin. Je suis rentré en sang. Personne du village, tous planqués derrière leurs volets clos, ne s'étant manifesté. 2 jours plus tard, après avoir porté plainte et vu le médecin qui a signé un arrêt de 20 jours, un des voisins, un ami d'enfance, m'a très maladroitement avoué avoir vu la scène, sans être intervenu, alors que ma vie était en danger et qu'ils auraient pu, que ce soit en voiture ou à motos, me rouler dessus. Je peux à peine manger, et quasiment pas mastiquer. L’ORL a prôné une opération que j'ai refusée, car le nez, sans être dévié, a la possibilité de se ressouder tout seul, sans compter les cartilages eux aussi, en vrac. Ça, cette anecdote, c'est pour l'aspect "réel". Ces gars ne perdent rien pour attendre, car si la gendarmerie ne découvre pas leurs identités, je m'en chargerai en solitaire, "comme une ombre dans la nuit", tel que me l'a suggéré un complice de la toile. "Contre une douzaine, casqués et en tenue protectrice de motards, tu ne pouvais rien faire". Sur un plan martial, mon tort est de ne pas avoir eu peur, et de ne pas m'être faufilé jusqu'à chez moi. Mon premier réflexe : m'éponger le sang, prendre un antidouleur, et fumer mon cigare, dans mon lit, en riant presque de mon aventure, et félicitant celui, qui de son poing ganté m'avait cogné, car il avait visé juste. Le nez étant une bien meilleur objectif dans la bagarre que les couilles. Voyez où en est la Bretagne, et où en est la solidarité entre gens du cru !
Le second coup fut d'une toute autre rudesse et d'une toute autre nature. Depuis des années, je n'avais eu de cesse de lire et d'encourager deux sites bretons identitaires. Le premier finit par me donner la nausée par la publicité qu'il faisait du Hellfest, ce rassemblement ouvertement infect et démoniaque en terres de Clisson, et je le rayais des tablettes. Le second, plus radical, mais nullement jovial, et mené de main de maître, n'est-ce pas, avait aussi le don de m'agacer car l'humour y était inexistant, et mes commentaires y étaient systématiquement sabrés. Le hasard faisant bien les choses, je fus mis, il y a quelques jours, en liaison Skype avec le ouebmaster d'un troisième site, qui avait quelque accointance avec le second que je lisais encore régulièrement, bien qu'il me fisse de plus en plus, l'effet d'une forteresse aussi imprenable qu'une loge maçonnique : se pâmant sur des victoires qui seraient les siennes, sans que rien ne puisse les légitimer dans le concret, le Nouvel Ordre avançant de son pas lourd, aussi bien en Bretagne qu'ailleurs. Le lendemain, ce même ouebmaster, me posa la question qui tue : "Tu es homo ?". Étonné (pour mémoire, et pour bien me foutre des Lgbt, j'avais nommé la première mouture du blog, "Le Gay Savoir", sans doute une erreur de néophyte ) je lui répondis, que cette appellation et ce qualificatif étaient très réducteurs, sachant le nombre et le type d'expériences érotiques, quasiment jamais amoureuses, "l'amour-connais- pas", que j'avais, à l'âge tendre, vécues à Paris, et sans complexe, ni regret, ni remords, et bien que ce soient là des jeux puérils que j'avais depuis fort longtemps abandonnés, et pour lesquels, je n'aurais, ici fait aucune publicité, ni surtout pas propagande. C'est ainsi que j'appris que "cela" était la raison pour laquelle, ce petit groupe que je suivais depuis des années, d'une impolitesse rare, racialement quasi incestueux, composé uniquement de mâles, et centré sur le nombril breton, ne donnait aucune suite à mes appels du pied, me prenant sans doute pour je ne sais quelle taupe, et ce, juste pour avoir avoir baisé à tort et à travers, dans pas mal de lits que la capitale m'avait tendus, au point que moi-même, je ne me souviens plus du quart des hommes et des femmes, dont des artistes plus ou moins connus, des bi, des juives, des juifs, des goyim, des maçons, etc. avec lesquels, avant de prendre conscience des magouilles et de la texture des lobbies, j'avais eu ces expériences, nobles ou pas, mais toujours vectrices et porteuses d'idéaux, et pas piquées des hannetons. Rien de tel que d'avoir connu à la verticale et à l'horizontale, ces formes d'ennemis ou tout au moins d'adversaires d'aujourd'hui. J'aurais même écrit, payé peau de balle et pour ne pas crever de faim, de fausses lettres érotiques pour une ancienne revue "Lettres Magazine", dirigée par une certaine madame Sitbon ! C'est dire. Ni honte ni fierté, un constat, et une franchise. La petite bande de culs coincés et serrés que voilà, et sans un pet d'humour ! Faut-il avoir une certification "100 pou 100 hétéro", pour entrer dans leurs rangs ? Ce n'est pas le B'nai Brith, c'est le Breizn'Brit. Ainsi, si c'est avec un mépris des plus notable, que je fustige régulièrement les LGBT, et leurs revendications foldingues, ainsi que les cercles mafieux parisiens, dont ils sont issus, j'apprenais, à mes dépends, comme le corbeau vis-à-vis du renard, que la petite caste élitiste bretonne et bretonnante, ne valait guère mieux en terme de solidarité et d'humanité ! Que c'est suspect, faut-il le souligner, d'avoir à ce degré peur du cul, que c'est suspect d'être doté de si peu d'humour, que c'est suspect d'être aussi borné dans son machisme quand les plus fortes têtes de Bretagne que je connaisse, sont des femmes ! Le breton bourlingue, baiser c'est bourlinguer, j'ai donc bourlingué et même fait, allongé, ou à pattes, le tour du monde. Ah, ah, ah !
Le breton picole, j'ai picolé. Il rit et pleure, j'ai ri et j'ai pleuré. Il pense à L'Ankou qui est son patron, je n'ai cessé de penser à lui, ce que les parisiens à qui je faisais peur, m'ont assez reproché. Si je me tape des gauchistes, je me tape aussi de tels droitistes, aussi peu évolués en leur conscience, surtout quand on songe au nombre de bretons bis, gués, gouins, sm, ou tout simplement singuliers etc. qui mènent leur vie recluse, et n'emmerdent personne. Des chefs, eux ? Pouah ! Des mufles, des handicapés ! De la bouse de vache infertile, ou "De la petite bière", pour citer ce vieux chameau de Goldanel, au sujet de la souffrance des palestiniens ! J'avais été prévenu pourtant, des rumeurs circulaient sur l'impolitesse et l'ingratitude de leurs chefs, je n'en avais pas tenu compte, car, ne croyant qu'en ce que je vois, me méfiant des ragots, je préférais m'en rendre compte par moi-même. Des bretons ? Des chrétiens de l'ouest mal dégrossis à qui je souhaiterais de subir quelques bonnes giclées de sperme et de liquide cervical dans la bouche et dans le cul, ne serait-ce que pour les décoincer. Les partouzeries ne sont pas, en soi, et surtout aussi anciennes, une trahison de ses ancêtres, ni de des racines, ni de soi. Chez ces bretonnants, pas même pas une petite pipe, pas même de feuilles de roses, pas même une petite sodomie à leur actif ? Pouah ! Ils ne connaissent rien à la vie. La chasteté qui est venue d'elle-même, et sans effort, a fait son chemin grâce aussi à ma débauche antérieure. Une petite virée chez les Soeurs Aryennes s'impose car sans les femmes, les pédés, les gouins, et autres, ils n'arriveront à rien. La Bretagne indépendante ? Mon cul ! Cette réaction me fait d'autant plus glousser jaune que je fus un proche d'une descendante de la famille du grand Polig Montjarret, avec "le petit défaut", pour ne rien leur cacher. Quant aux motards, du même acabit que ces intellectuels gavotteux à la mode de chez nous, je les attends de pied ferme, avec, comme arme, mon bâton de l'Ankou. Un jour ou l'autre, j'en isolerais bien l'un ou l'autre, et ils paieront, et me rendront ce qui m'est dû, car mon principe, est, tôt ou tard, de toujours et systématiquement me venger et de faire ravaler quelque orgueil superfétatoire et nullement justifié. Que cela soit dit et répété. Autant, les éructations "controvidesques" du Café Philo de Droite ou celles du divin Abbé, sont la plupart du temps de relative bonne guerre, et n'enlèvent nullement l'espèce de tendresse que je leur porte, autant sur tout ce petit monde bretonnant et clos, de dépit, je leur crache, à moins que je ne leur pisse ou ne leur défèque dessus, ce qu'il me reste de glaviots sanglants dans les sinus, à la gueule. Seuls les révoltés à la Ibara, Chriss, JClaurent, Simon, Blh...valent que l'on se penche sur leur cas. Heureusement, certains moins bégueules, et ont su renifler et reconnaître un aussi singulier dissident. Comme la plupart des intellectuels, ce sont des imbéciles. Il leur manque cette dimension du cœur, artistique, poétique. Ce sont des bretons castrés. Plus, et bien que je gardasse de la tendresse pour eux, je les lisais, et plus le malaise montait. Ces messieurs tiennent tant à leur pureté qu'ils nient les fondements de la vie, dont l'un est : la crasse ! Qui fait l'ange fait la bête, et eux vivent à la mode angélique sous les mirages d'une Bretagne retrouvée : 100 pour 100 hétéro, 100 pour 100 bretonnante, 100 pour 100 autonome... Ils rêvent et planent, ce sont là des traits bretons que je discerne. Leur sale caractère, aussi, est un autre trait identifiable de la bretonnitude, mais il est mal appliqué. Hélas, ils planent et rêvent, non à la manière de poètes bretons, mais de cérébraux desséchés par l'intellect. C'étaient là, et de plus en plus, bretons que je ne reconnaissais pas. Dans les deux affaires blessantes qui me concernent, ce qui m'a le plus choqué, ce sont les attitudes lâches et sournoises : 1, du témoin muet de mon village, 2, des militants de la "cause", et cela, moins pour moi, que par respect pour ma mère, une personnalité locale, toujours bon pied, bon œil, et qui, ancienne petite commerçante, en apprendrait long sur la vie, à ces malappris et à ces sagouins ! Dits "bretons", que cela soit dit, vous vous comportez à la manière bégueule et élitiste des juifs et des maçons que vous dénoncez vainement à longueur de journée si c'est pour appliquer leurs propres méthodes. A moins, d'une miraculeuse guerre civile, d'une logistique de centaines de cargos et d'avions qui aillent les re-débarquer en Afrique, la situation est foutue, Bretagne comprise ! Aussi breton que n'importe qui d'entre ces bouseux, je me chauffe d'un bois qui brûle de la Sainte Kundalini, et ce ne sont pas les humains qui sont habilités et qui auraient vocation à me faire peur. Brebis est roi, ou reine si vous préférez, en son royaume. Qu'ils prennent ça dans la tronche ! Ils n'en ont rien à foutre ? Et moi, pardi. Les liens sont rompus. Mon propre combat, la direction que j'ai prise, surtout avec les temps qui s'annoncent, ne sont pas les leurs, il était temps, imbécile de Brebis, que je m'en rende compte. Ils veulent s'en expliquer en tout bien tout honneur ? Rendez-vous en ce cas, dans le Sud-Finistère, à l'église de la Sainte-Trinité, dite "sans toit, ni loi", j'y suis souvent, en fin d'après-midi, à exciter Kundalini, et à y prier, Enki plutôt que Yahvé, peut-être. De pine à glande pinéale, il n'est qu'un pas, n'est-ce-pas ? Constitué, lui, du sabot coriace de corne d'ovidé. Mais ils feront les morts, car ils le sont déjà dieu, cependant que ces guerres égotiques sont lassantes. Voilà, c'est dit et écrit, tournons allègrement la page, ou plutôt, fermons le livre.
Le second coup fut d'une toute autre rudesse et d'une toute autre nature. Depuis des années, je n'avais eu de cesse de lire et d'encourager deux sites bretons identitaires. Le premier finit par me donner la nausée par la publicité qu'il faisait du Hellfest, ce rassemblement ouvertement infect et démoniaque en terres de Clisson, et je le rayais des tablettes. Le second, plus radical, mais nullement jovial, et mené de main de maître, n'est-ce pas, avait aussi le don de m'agacer car l'humour y était inexistant, et mes commentaires y étaient systématiquement sabrés. Le hasard faisant bien les choses, je fus mis, il y a quelques jours, en liaison Skype avec le ouebmaster d'un troisième site, qui avait quelque accointance avec le second que je lisais encore régulièrement, bien qu'il me fisse de plus en plus, l'effet d'une forteresse aussi imprenable qu'une loge maçonnique : se pâmant sur des victoires qui seraient les siennes, sans que rien ne puisse les légitimer dans le concret, le Nouvel Ordre avançant de son pas lourd, aussi bien en Bretagne qu'ailleurs. Le lendemain, ce même ouebmaster, me posa la question qui tue : "Tu es homo ?". Étonné (pour mémoire, et pour bien me foutre des Lgbt, j'avais nommé la première mouture du blog, "Le Gay Savoir", sans doute une erreur de néophyte ) je lui répondis, que cette appellation et ce qualificatif étaient très réducteurs, sachant le nombre et le type d'expériences érotiques, quasiment jamais amoureuses, "l'amour-connais- pas", que j'avais, à l'âge tendre, vécues à Paris, et sans complexe, ni regret, ni remords, et bien que ce soient là des jeux puérils que j'avais depuis fort longtemps abandonnés, et pour lesquels, je n'aurais, ici fait aucune publicité, ni surtout pas propagande. C'est ainsi que j'appris que "cela" était la raison pour laquelle, ce petit groupe que je suivais depuis des années, d'une impolitesse rare, racialement quasi incestueux, composé uniquement de mâles, et centré sur le nombril breton, ne donnait aucune suite à mes appels du pied, me prenant sans doute pour je ne sais quelle taupe, et ce, juste pour avoir avoir baisé à tort et à travers, dans pas mal de lits que la capitale m'avait tendus, au point que moi-même, je ne me souviens plus du quart des hommes et des femmes, dont des artistes plus ou moins connus, des bi, des juives, des juifs, des goyim, des maçons, etc. avec lesquels, avant de prendre conscience des magouilles et de la texture des lobbies, j'avais eu ces expériences, nobles ou pas, mais toujours vectrices et porteuses d'idéaux, et pas piquées des hannetons. Rien de tel que d'avoir connu à la verticale et à l'horizontale, ces formes d'ennemis ou tout au moins d'adversaires d'aujourd'hui. J'aurais même écrit, payé peau de balle et pour ne pas crever de faim, de fausses lettres érotiques pour une ancienne revue "Lettres Magazine", dirigée par une certaine madame Sitbon ! C'est dire. Ni honte ni fierté, un constat, et une franchise. La petite bande de culs coincés et serrés que voilà, et sans un pet d'humour ! Faut-il avoir une certification "100 pou 100 hétéro", pour entrer dans leurs rangs ? Ce n'est pas le B'nai Brith, c'est le Breizn'Brit. Ainsi, si c'est avec un mépris des plus notable, que je fustige régulièrement les LGBT, et leurs revendications foldingues, ainsi que les cercles mafieux parisiens, dont ils sont issus, j'apprenais, à mes dépends, comme le corbeau vis-à-vis du renard, que la petite caste élitiste bretonne et bretonnante, ne valait guère mieux en terme de solidarité et d'humanité ! Que c'est suspect, faut-il le souligner, d'avoir à ce degré peur du cul, que c'est suspect d'être doté de si peu d'humour, que c'est suspect d'être aussi borné dans son machisme quand les plus fortes têtes de Bretagne que je connaisse, sont des femmes ! Le breton bourlingue, baiser c'est bourlinguer, j'ai donc bourlingué et même fait, allongé, ou à pattes, le tour du monde. Ah, ah, ah !
Le breton picole, j'ai picolé. Il rit et pleure, j'ai ri et j'ai pleuré. Il pense à L'Ankou qui est son patron, je n'ai cessé de penser à lui, ce que les parisiens à qui je faisais peur, m'ont assez reproché. Si je me tape des gauchistes, je me tape aussi de tels droitistes, aussi peu évolués en leur conscience, surtout quand on songe au nombre de bretons bis, gués, gouins, sm, ou tout simplement singuliers etc. qui mènent leur vie recluse, et n'emmerdent personne. Des chefs, eux ? Pouah ! Des mufles, des handicapés ! De la bouse de vache infertile, ou "De la petite bière", pour citer ce vieux chameau de Goldanel, au sujet de la souffrance des palestiniens ! J'avais été prévenu pourtant, des rumeurs circulaient sur l'impolitesse et l'ingratitude de leurs chefs, je n'en avais pas tenu compte, car, ne croyant qu'en ce que je vois, me méfiant des ragots, je préférais m'en rendre compte par moi-même. Des bretons ? Des chrétiens de l'ouest mal dégrossis à qui je souhaiterais de subir quelques bonnes giclées de sperme et de liquide cervical dans la bouche et dans le cul, ne serait-ce que pour les décoincer. Les partouzeries ne sont pas, en soi, et surtout aussi anciennes, une trahison de ses ancêtres, ni de des racines, ni de soi. Chez ces bretonnants, pas même pas une petite pipe, pas même de feuilles de roses, pas même une petite sodomie à leur actif ? Pouah ! Ils ne connaissent rien à la vie. La chasteté qui est venue d'elle-même, et sans effort, a fait son chemin grâce aussi à ma débauche antérieure. Une petite virée chez les Soeurs Aryennes s'impose car sans les femmes, les pédés, les gouins, et autres, ils n'arriveront à rien. La Bretagne indépendante ? Mon cul ! Cette réaction me fait d'autant plus glousser jaune que je fus un proche d'une descendante de la famille du grand Polig Montjarret, avec "le petit défaut", pour ne rien leur cacher. Quant aux motards, du même acabit que ces intellectuels gavotteux à la mode de chez nous, je les attends de pied ferme, avec, comme arme, mon bâton de l'Ankou. Un jour ou l'autre, j'en isolerais bien l'un ou l'autre, et ils paieront, et me rendront ce qui m'est dû, car mon principe, est, tôt ou tard, de toujours et systématiquement me venger et de faire ravaler quelque orgueil superfétatoire et nullement justifié. Que cela soit dit et répété. Autant, les éructations "controvidesques" du Café Philo de Droite ou celles du divin Abbé, sont la plupart du temps de relative bonne guerre, et n'enlèvent nullement l'espèce de tendresse que je leur porte, autant sur tout ce petit monde bretonnant et clos, de dépit, je leur crache, à moins que je ne leur pisse ou ne leur défèque dessus, ce qu'il me reste de glaviots sanglants dans les sinus, à la gueule. Seuls les révoltés à la Ibara, Chriss, JClaurent, Simon, Blh...valent que l'on se penche sur leur cas. Heureusement, certains moins bégueules, et ont su renifler et reconnaître un aussi singulier dissident. Comme la plupart des intellectuels, ce sont des imbéciles. Il leur manque cette dimension du cœur, artistique, poétique. Ce sont des bretons castrés. Plus, et bien que je gardasse de la tendresse pour eux, je les lisais, et plus le malaise montait. Ces messieurs tiennent tant à leur pureté qu'ils nient les fondements de la vie, dont l'un est : la crasse ! Qui fait l'ange fait la bête, et eux vivent à la mode angélique sous les mirages d'une Bretagne retrouvée : 100 pour 100 hétéro, 100 pour 100 bretonnante, 100 pour 100 autonome... Ils rêvent et planent, ce sont là des traits bretons que je discerne. Leur sale caractère, aussi, est un autre trait identifiable de la bretonnitude, mais il est mal appliqué. Hélas, ils planent et rêvent, non à la manière de poètes bretons, mais de cérébraux desséchés par l'intellect. C'étaient là, et de plus en plus, bretons que je ne reconnaissais pas. Dans les deux affaires blessantes qui me concernent, ce qui m'a le plus choqué, ce sont les attitudes lâches et sournoises : 1, du témoin muet de mon village, 2, des militants de la "cause", et cela, moins pour moi, que par respect pour ma mère, une personnalité locale, toujours bon pied, bon œil, et qui, ancienne petite commerçante, en apprendrait long sur la vie, à ces malappris et à ces sagouins ! Dits "bretons", que cela soit dit, vous vous comportez à la manière bégueule et élitiste des juifs et des maçons que vous dénoncez vainement à longueur de journée si c'est pour appliquer leurs propres méthodes. A moins, d'une miraculeuse guerre civile, d'une logistique de centaines de cargos et d'avions qui aillent les re-débarquer en Afrique, la situation est foutue, Bretagne comprise ! Aussi breton que n'importe qui d'entre ces bouseux, je me chauffe d'un bois qui brûle de la Sainte Kundalini, et ce ne sont pas les humains qui sont habilités et qui auraient vocation à me faire peur. Brebis est roi, ou reine si vous préférez, en son royaume. Qu'ils prennent ça dans la tronche ! Ils n'en ont rien à foutre ? Et moi, pardi. Les liens sont rompus. Mon propre combat, la direction que j'ai prise, surtout avec les temps qui s'annoncent, ne sont pas les leurs, il était temps, imbécile de Brebis, que je m'en rende compte. Ils veulent s'en expliquer en tout bien tout honneur ? Rendez-vous en ce cas, dans le Sud-Finistère, à l'église de la Sainte-Trinité, dite "sans toit, ni loi", j'y suis souvent, en fin d'après-midi, à exciter Kundalini, et à y prier, Enki plutôt que Yahvé, peut-être. De pine à glande pinéale, il n'est qu'un pas, n'est-ce-pas ? Constitué, lui, du sabot coriace de corne d'ovidé. Mais ils feront les morts, car ils le sont déjà dieu, cependant que ces guerres égotiques sont lassantes. Voilà, c'est dit et écrit, tournons allègrement la page, ou plutôt, fermons le livre.
Selon Mohac.
Les Sœurs Aryennes. C'était il y a 30 ans qu'il eut fallu agir.
La Chapelle de granit bâtie sur un lieu druidique. Nous la dédions à notre compatriote breton, Simon Duplessis,
qui a toute notre estime et plus.
PS : presque à mourir de rires, un véhicule agricole, vues les traces jaunes de maïs sur la carrosserie, est entré ce matin
dans ma petite "trottinette" verte sagement garée.
Rétro & porte côté conducteur bousillés.
Elle aussi aura eu comme son nez brisé.
Le fautif est parti sans laisser d'adresse
et nul témoin bien sûr. Tout pour ma pomme.
Je n'ai pu que ramasser les débris de son propre phare rouge arrière.
Bretons, traites raciaux, je la peaufinerai ma vengeance !