Minissima

Mina : Il était temps, n'est-ce pas ! 

Sur un plan graphique et vocal, la petite tapiole

de David Jones dite Bowie est largement dépassée.

Mina incarne le génie féminin de l'Italie.

La semaine dernière, LBG a rêvé de Sheila, dont le visage était si raboté, que, de profil, il ne lui restait quasiment plus de nez. La nuit suivante, il a rêvé de Sylvie Vartan qui,

sur scène, brillait de sa petitesse

et de sa nullité,

Et la nuit dernière, il a rêvé de Mina !

Eh oui, Le Brebis se trouvant cette fois dans le studio d'enregistrement de la Diva de Lugano,

 face au micro, il s'est révélé d'une nullité grandiose,

 improvisant et bêlant des "oua", "oua", "oua" ridicules,

avec Mina, l'écoutant,  à son côté.

La Honte !

Ensemble, nous avons aussi évoqué Fellini,

pour qui Mina a refusé de tourner, après avoir refusé une collaboration avec Sinatra !

Qui dit mieux ?

Admettez que faut avoir le ciboulot

qui débloque, et la bouillotte bien  renversée, pour faire des  cauchemars

avec S et SV,

quant à M, c'est autre chose :

un Songe d'une nuit de quasi-printemps.

Cela dit, autant faire des rêves de Fée plus Clo-cloche

que Clochette,

que des cauchemars FM de ce style 

que la masse, bouche ouverte, reçoit comme un paquet de merde

dans la tronche.