mercredi 8 octobre 2014

Zem


Un Zuif maigrichon dénonce la révolution Zuive de mai 68 et les désastres qui s'en sont logiquement suivi, car la Synagogue, de tous temps est mère suprême 
du malheur.
Ici, une espèce de chamelle chevaline à la Elkrief tente de
le contrecarrer. 
Elle se fait tendresse, elle se fait chatte, la chamelle de salami, l'amadoue, et lui donne, du "Eric", elle l'accuse
de se faire "plus goy que le goy" (terme jamais entendu jusque là à la télévision). 
Relativisons.
Zem-le-Juif-berbère  a été jusqu'à plagier et pomper le titre même
du livre de Thilo Sarrazin,  "Deutschland schafft sich ab",
"L'Allemagne s'auto-détruit".
Le Livre fit un scandale et il y eut une joute oratoire sévère entre lui et Michael Friedman,
un journaliste Juif  sioniste pro-immigration impliqué dans des affaires de cul (comme par hasard).
La France étant sous la coupe totale du Crif,
c'est Zem qui s'est attelé à la tâche,
évidemment, parole de Juifs étant parole d'évangile, tous les petits gogos de réacs de se précipiter et de l'acheter le brûlot d'Eric.
Aucun goy n'aurait eu la permission d'en faire autant et n'aurait  surtout pas été invité sur aucun plateau. 
"Vous n'avez pas lu son livre" me rétorquera-t-on, il ne manquerait plus que ça,
que je me souille l’œil avec les écrits d'un sémite quel qu'il soit !
 

Vous pensez, "Ah ! oh ! eh ! ah ! hi-han !... Zemmour",  à la tête de dromadaire,  l' idole des chrétiens réacs nunuches, comme le destructeur Cohn-Bendit fut l'autre idole Zuive des socialos et gauchos.
Ce Cohn-Bendit qui serre la pince de Sarkö,
tous membres du clan.
Idole imposée par les Rothschild après le rapatriement de l'or de la FED, avec navires de guerre, s'il vous plait,
et son fameux discours sur Israël. 
De Gaulle a eu grand tort en 68, il aurait dû imposer une dictature, un couvre-feu et décapiter ces révolutionnaires Juifs de Krivine à Geismar,
en passant par Goupil,
et  jeter leurs têtes au fil de la Seine qu'elles y flottent jusqu'au Havre.
De Zem à Cohn-Bendit, la boucle est ainsi bouclée et le champ de la Synagogue s'étend 
de la gauche rouge, à la pseudo droite "forte". 
Il n'y a plus, sur les plateaux que des Juifs ou des ultra-enjuivés, les goy-shabbats, pour contredire des Juifs. 
Ici Amar, entouré de Lescure, et de Cohen,
qui assassine Elkabbach au sujet de Le Pen.
Ils naviguent entre eux,
jusqu'à se haïr. 
Le point Godwin n'existe pas, c'est le point Goldwin.
La bouclette tourne en rond. 
Zemmour (nom d'une famille de grands truands) sera-t-il le fer de lance
de la contre-révolution de 2015/16/17 ?
Un élément cloche, cher lecteur, si monsieur Zem a autant le sens à la Zola de la justice,
pourquoi ne dénonce-t-il pas le Lobby dont il est issu, pourquoi n'invite t-il pas les spectateurs 
à lire Anne Kling, Ryssen, ou quelques blogs, dont celui d'Emma La Luce
qui vient de subir brutalement la censure ?
Non ! Il reste bien au chaud, comme caution du Lobby,
entre radios, librairies, et télévisions, ce qui lui assure une belle rente mensuelle, 
et fort de ses gènes, il ne sera nullement inquiété.
Et allez, après Cohen, Zem fait tout le tour de plateaux Zuifs.
Ici chez la Jument cacher Elkrief, et ça y va sur Pétain,  les Zuifs, les Zustes, 
jusqu'à la nausée.
Zem n'est que le courant de sa confrérie qui saisit la dangerosité de l'excès de pouvoir, et de l'immigration massive de primates qui prient Allah, qui, soit dit en passant, n'est guère pire que Yahvé et que le Dieu de Jésus.
 Marx, Jésus, Freud, Einstein, 
tous des voleurs et des truands au passage, 
quadrature du cercle de la pensée,
le troupeau des goyim est mené de mains de maître.
Le temps de Céline l'écrivain a changé :
la situation est nettement pire qu'à 
son époque. 
Leur empire est colossal. 
PS :  le petit cochon sémite de Cohen se fait tout petit face à Zem. Il n'ose pas rompre en visière et attaquer un co-racial. Zem n'aurait pâs été invité s'il avait été goy.
L'utilité de Zem pour le Lobby est de le prévenir qu'une grogne sourde et puissante est en train de germer chez l'aryen,  de l'amener à être un peu moins voyant, et de la rabaisser d'un ton. 
Impossible : la vulgarité et la vanité sont consubstantielles à cette tribu.

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