mardi 10 juin 2014

L'extrême-droite et ses coincés du cul...

     

Il y a quelques temps,  nous exprimions nos déboires vis-à-vis d'un chef de meute breton  qui n'avait jamais daigné  répondre à nos appels du pied, bien que la région et le secteur où lui et son           troupeau résident, soient  aussi les nôtres.  Afin de ne pas étaler la merde, nous ne nommerons ni site, ni pseudo.
Sur Skype, un tenancier de blog un peu trop bavard, nous en avait révélé la raison de cet enferment de tour d'ivoire, raison que nous supputions  mais ne pouvions évidemment  pas affirmer  :  nous serions impur d'avoir  fauté, en nous mêlant goulûment aux chaudes nuits bisexuelles parisiennes, où artistes, Juifs, Fm, profanes, goyim finissaient réunis en  un seul tas,
et où  chrétiens et musulmans, et ce n'est pas un paradoxe, étaient absents. 
Ces situations et ces parties de jambes en l'air, entre Palace et Bains-Douches, qui, avec le recul, nous paraissent drôle, ne furent jamais l'occasion pour nous, de quelconques revendications qu'elles qu'elles soient.
Nous étions libertin, jeune et libre de notre corps, et ce, sans honte, ni regret, d'autant que nous avions été prudent : hommes, femmes, relations protégées et ni alcool, ni drogues.
Que cette fantaisie de jeunesse puisse servir de rempart avec des frères de racines et de race nous stupéfia, mais ne nous étonna guère après que nous eussions entendu quelques rumeurs sur la rigidité et le manque d'humour du bonhomme et de son clan, qui n'iront jamais bien loin, car ils ne sont pas fédérateurs.
Un breton digne de ce nom est une personne qui bouge, fait sans jugement ses expériences,  voit du pays, et surtout qui a de la poésie et de l'humour dans sa besace, humour et poésie dont nous ne retrouvons nulle trace dans ce mouvement aussi élitiste et sectaire qu'une caste maçonnique.


Ensuite, il y a peu, il nous est advenu une curieuse aventure sur Facebook,  zinzin de la Toile, énième "grand frère" voyeur, qui collecte nos données. 
Un bloggeur de droite, donc,  qui avait eu jusque là, toute notre estime, et donc le blog venait d'être censuré, nous aborda, après nous avoir mis dans ses favoris, et nous en retira après avoir vu notre logo habituel, l'objet du litige, "Mina dédoublée", que ce bloggeur qui considérait, nous citons, être "La représentation de deux Traves qui s'enculent"...(sic)
Nous en restions bouche bée. En lui fournissant notre  explication, celle d'une couverture de disque, et d'une parodie de Picasso, il nous rétorqua, "Je ne connais pas cette chanteuse", ce à quoi nous répondîmes, 
'Tu ne connais alors sûrement pas mon blog", 
ce qui interrompit notre conversation et  finit par clore le débat.
Seconde aventure sur Facebook, un anonyme de la mouvance Skin, ni connu des lèvres, ni des dents, commença à nous titiller en disant lire parfois  notre blog, et nous demanda quel était sexuellement  "le genre" que nous affectionnions.
Interloqué, nous lui  signifions  que nous ne considérerions nullement la Toile ni comme un plumard, ni comme une aire de jeux, et encore moins une aire érotique.
Au bout de quelques phrases, le dialogue tourna en une espèce de pilpoul à la mord-moi le nœud.
Le lendemain, notre logo étant accompagné d'une image de champ de coquelicot, rebelote, le Skin nous  fourgue "Gentil coquelicot, Madame".
Être pris pour un couillon, certes,
mais pour un double-couillon ?
constatant donc son insistance à proférer des allusions ridicules, et à parler de cul, nous l'avons sabré et le bloqué d'un coup...
Réflexion faite : qu'est-ce donc que cet aréopage de ces espèces de natios coincés du cul, qui projettent sur vous leurs propres turpitudes et interrogations, et jugent  ce qu'ils pensent être le mal,
et qui ne sont que des projections du plus bas effet.
A croire que le pauvre Skin se tapait la branlette devant son écran.
Dans leur genre, ils sont aussi  pitoyables et désolants que les exécrables LGBT.
Que de similitudes de clonage, par ailleurs, entre un Skin et un Pédé cuir !
La panoplie est quasi identique.
Ce ne sont pas ces branleurs et encore moins  à 87 balais sonnés, après une vie de loup solitaire depuis ces années innombrables, bien qu'ils nous prennent, parfois à tort, parfois à raison,  pour un couillon, qui iront nous apprendre ce qu'est la vie, non ?


Hugh, c'est dit, et désormais, l'on s'en contre-balance.
Heureusement que les Sœurs Aryennes sont venues foutre le bordel et le merdier  dans ces petits cercles sans cette envergure qu'ils se figurent être la leur !
Voyez  François Asselineau : il fait le matador et bœuf sur la Toile, et se retrouve grenouille dans les urnes.
Que les sœurs leur collent donc, outre leurs propres fesses aryennes sur leurs faces,  du piment sur leur gland, et à l'intérieur de  leur fion resserré ! 








Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire